Sécurité : Extension du dispositif de vidéoprotection

En 2017, la vidéoprotection s'installe dans la cité. 16 sites sont concernés, soit 27 caméras disposées. Entre fin 2023 et fin 2024, 15 sites supplémentaires sont ajoutés (34 caméras fixes + 2 mobiles). Ce déploiement qui permet d'inculper, de dissuader et de disculper, est rendu possible grâce à l'État et à la Région Auvergne-Rhône-Alpes, partenaires financiers.

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La vidéoprotection permet d’enregistrer des images pouvant être consultées a posteriori, sur demande du procureur de la République, afin de contribuer à la progression des enquêtes menées par la gendarmerie en cas d’infractions constatées.

Juridiquement, les images ne peuvent être conservées au-delà d’un délai de 30 jours.

En 2017, 27 caméras sont disposées, principalement aux entrées-sorties de la ville et au centre-ville. Ces caméras fonctionnent en continu, de jour comme de nuit. Certaines enregistrent des images d’espaces publics piétonniers, d’autres sont axées sur les voies de circulation routière et permettent, notamment, la lecture des plaques d’immatriculation des véhicules.

La Ville d'Issoire décide ensuite d’étendre ce système à d’autres secteurs du territoire concernés par des faits de délinquance ou d’incivilité. Les travaux d’extension se déroulent entre fin 2023 et fin 2024. Ils concernent 15 sites supplémentaires, avec l'ajout de 34 caméras et 2 caméras mobiles. Les caméras mobiles ont pour vocation à être déplacées en fonction des préconisations des forces de sécurité.

Désormais, Issoire compte 31 sites de vidéoprotection, avec un total de 63 caméras (61 fixes + 2 mobiles), dont certaines comprennent plusieurs optiques afin de multiplier les angles de vue.

Financement

Coût du premier déploiement (phase 1) : 286 676 € TTC

Coût de l’extension (phase 2) : 311 272 € TTC